LA TARENTAISE HEBDO s'est invitée, le 24 MARS dernier au siège de l'UNESCO à PARIS!

Même si on ne peut pas interdire le don, même si "le dialogue et l'écoute restent des outils de l'accompagnement du don" nous, représentants d'ONG, avons l'obligation de respecter nos lois, les lois internationales et les lois internes des pays dits en voie de développement, lorsque nous envisageons de leur faire parvenir des dons qui (souvent récoltés avec beaucoup de difficultés et envoyés à grands frais) ne répondent pas forcément aux besoins réels des bénéficiaires et créent (j'ai pu l'observer lors de mes différents déplacements en Afrique) "des charges exorbitantes pour leur enlèvement et leur destruction (encore faut-il que les pays concernés aient les moyens matériels et financiers pour procéder à leur destruction ! ) et aussi des nuisances sur la santé et l'environnement".

Le 24 MARS dernier, au siège de l'UNESCO à PARIS, une délégation venant de COTONOU (République du Bénin) a eu le courage de présenter un document sur "la problématique à l'envoi des dons humanitaires de la France vers le Bénin".

Cette grande journée de réflexions et d'échanges autour de cette problématique avait été organisée par le Consulat Général du Bénin à PARIS.

LA TARENTAISE HEBDO, qui s'était invitée grâce à sa lectrice, a voulu, lors d'une pause dite "raffraichissement" organisée pour les 15O représentants d'associations Béninoises ou Franco Béninoises présents ce jour là, montrer "son bout de nez" mais aussi informer ses fidèles lecteurs que le thème abordé valait la peine qu'elle s'en intéresse
et que sa présence à cette importante réunion qui, elle l'espère ne pourra à l'avenir qu'améliorer les relations Nord-Sud.

 

Par Jacqueline GUGLIELMETTI - Salon de Provence